How could be better resume what we feel? Fuck justice ‘cuz what happenns in tribunals is nothing but class justice. Fuck peace ‘cuz the social peace that they want us to accept is nothing but a daily defeat for the poors and a daily victory for the rich.We don’t want the social peace but the civil class war. Death to the pigs ‘cuz it’s they’re the war dogs of the capital and they defend it and smash any one who want to stand against it. Kill this world ‘cuz this system cannot be reformed. It’s this whole fucking world thatwe have to defeat. Oppression and exploitation will exist ‘till this system exist.There ‘s no 10000 solution. Fuck it all.
j’rigole du rire de celui que la folie gagne, le rire de la graine d’assassin, du sauvageon, du hooligan, du kamikaze qui s’écrase sur la paroie de ton spectacle, t’as pas compris? t’en veux encore? ecoute un peu le chant des morts-nés orphelins d’une révolution qui n’a jamais eu lieu, qui baignent dans la fosse à purin d’un système dont ils sont hors-jeux. bouge sur ce son d’salauds! slame sur un champs d’mines! danse le pogo sur une jambe avec une barramine! un pied dans la tombe, mais toujours debout, en équilibre sur une bombe plutôt que de vivre à genoux. un pied dans la tombe, mais toujours debout, ça sent l’sapin dans nos souliers.la rage au ventre, la bave aux lèvres, c’est nos propres espoirs qu’on achève. dire qu’on a juste tenter d’exister! fruits maudits de son incontinence, nous nous rêvons bourreaux de ce que ce monde encense.
Tu déambules masqué-e au travers de la ville, Cet espace occupé par le spectacle de l’esprit mercantile. Tu rêves d’ouvrir une brèche au travers de l’écran,D’envoyer une flèche au cœur de ce cirque étouffant. Ta main se crispe sur ton projectile,Tu t’avances et balances ton appel à la vie ! Vlan dans la gueule ! A coups d’ cocktails, à coups d’ pavés ! Une banque qui brûle c’est un espace de libéré, Pour un instant, pour un moment donné, La vie est dans la rue et la rue est liberté ! Depuis que les bâtards en bleu se sentent pousser des ailes, Le pays pue l’ gaz faudrait une étincelle, L’envie de tout retourner est une vraie contagion, Toute une masse d’ oppressé-e-s est déjà prés pour la confrontation ! Vlan dans la gueule ! A coups d’ cocktails, à coups d’ pavés ! Une bande de keuf qui brûle c’est un espace de libéré, Pour un instant, pour un moment donné, La vie est ans la rue et la rue est liberté !
je hais ton hymne et ton drapeau, ta putain de fierté mal placée, ton chauvinisme de blaireau, même ta vinasse me fait gerber! douce france... toi et toute ton armée de flics, de contrôlleurs, de citoyens, je vous exècre, je vous vomis et si j’en avais les moyens...douce france... ta médiocrité nourrit la rancoeure de tes cellules dégénérés, de ces cancers de tes entrailles qui rêvent tous de te voire crever! douce france...il nait un feu en 400 000 foyers, un feu qui brûle en eux, en moi, ton avenir te veut trépassé, tu nous voulais disciples, nous serons tes judas...douce france, crève pays de mes errances, je brûle de te voire en cendres, je m’consume de ne pouvoir attendre.je rêve de te voire crever, je crève de te voire rêver... en des lendemains qui te chantent.
combien de fois ta main s’abattra-t-elle encore sur ce qui n’est qu’un pantin désarticulé? combien d’excuses trouveras-tu encore pour essayer de t’justifier? tu frappes, est ce que ça te donnes l’impression d’exister? d’exposer ta virilité? a coups de tête, de poings, de pieds, tu cognes, tu jouis et elle hurle à la mort! «ta gueule!», «salope!», encore un verre ou deux et puis on va s’coucher, en route vers les «calins forcés», tu violes, t’es toujours aussi con pour croire qu’en plus elle prend son pied! et tu l’écrases au quotidien, caché par les rideaux de l’institution, le marriage comme vitrine à la con. pas besoin d’sortir tard dans la rue pour se faire humilier, tabasser ou violer, ça se passe chaque soir dans les foyers.
Pas d’ justice ! Pas d’ paix ! Tant qu’il y aura des exploité-e-s. Tant qu’il y aura des dirigeants, des bâtards qui veulent nous contrôler Pas d’ justice !Pas de paix ! Tant qu’il y aura des huissiers,Des flics, des juges pour nous virer, nous enfermer, nous tabasser ! AU-TO-NO- MIE ! Pas d’ justice ! Pas d’ paix ! Tant qu’on voudra nous parquer hors des villes dans les cités de l’esclavage salarié. Pas d’ justice ! Pas d’ paix ! Tant qu’il y aura des matons,Des tribunaux et des prisons et tant d’ choses à détruire !
Maréchal, les voilà, tes enfants sont au gouvernement, ce sont des stars médiatisés, opportunistes, cyniques, zélés, ils trainent à la télé comme ton portrait, tronait hier sur les cheminés.T’en as rêvé et ils l’ont fait, c’est bleu, blanc, rouge, le premier mai. La coupe du monde a réveillé des millions de fachos larvés.Il chante le coq dans son fumier, fier d’être con, fier d’être français! Abrutis et conditionné, Johnny et Pernault au JT! J’t’emmerde et je chie sur la france ! Sur sa morale et son bon sens, ses troupeaux bêlants pacifiés, qui kiffent d’être toujours plus fliqués! Mais tous ces uniformes bleu, héritiers des négriers blancs s’raient mieux immaculés de rouge, brûle! Maréchal les voilà, tes enfants sont au gouvernement, maréchal, ils sont là, aussi pourris que ceux qui les ont choisis. Elle suce, elle suce, la chiraquie, ses putains de pastilles vichy!
quand je t’ai vue, j’ai vite compris qu’il fallait que j’aille te parler, on s’est raconté presque tout dis, on a finis par s’embrasser... les autres croyaient qu’ils étaient normaux mais ils n’étaient qu’hétéros ! robert je t’aime et je veux t’aimer au de-là des genres, je vais te désirer, ton torse poilu ne m’effraie pas, robert sers-moi fort contre toi ! j’ai fait craquer le petit cœur que cachait ton corps de camionneur, tu m’as parlé de tes joies de tes peurs, je crois que je te connais par cœur, tu m’as présenté tes parents que j’ai trouvé antipathique... on s’ moquait du regard des gens de leurs messe basses, de leurs critiques. les autres croyaient qu’ils étaient normaux mais ils n’étaient qu’hétéros ! c’est vrai que tu pues, que tu piques mais le fait est que j’ t’aime «l’amour est enfant de bohème » qui ne connaît ni les genres, ni les lois d’une société donné...
Samedi soir, tu t’fais chier, viens voir mon groupe chanmé, on jouera les idoles le temps qu’tu cuves ta picole, des slogans-refrains qu’tu connais par coeur sur trois putains d’accords majeurs, vises ma panoplie de punk-rocker qui effraie même plus ta gand mère! Parait qu’y en a qui y croient encore, des skin-heads fiers, des punks pas morts, les mains coincés sous les aisselles ou les poings tendus vers le ciel.Ta rebellion a en stock milles refrains moins dangereux qu’un glock, ta connerie d’ punk-rock-stars aseptisés se vomit sur papier glacé! Une cagoule, une barre et un cock’ plutôt qu’ma tronche en photo dans punk rawk, ton spectacle de contestation : rien d’autre qu’une menace en carton! Les conneries, faut arrêter d’les dire, faut les faire! L’odeur d’essence plutôt qu’celle de la sueur des concerts! Une putain d’émeute en pleine rue plutôt qu’le retour des bérus, leurs misérables appels au calme d’animateurs de paix sociale.Ton punk n’est pas mort mais à vendre, alors qu’il crève! Il s’est fait acheter qu’on l’achève!
Produire et consommer ma merde, quel bel avenir s’offre à moi ! Perdre ma vie à la gagner, me ronger pour les fins de mois, Rentrer tous les soirs crevés, trop abrutis pour réfléchir Me poser devant ma télé, prés à croire tous ce qu’on va me dire... Je crois que je vais pas tarder à péter les plombs ! Je crois que je vais pas tarder à tout foutre en l’air, à me foutre en l’air !
Tu t’inquiétais pour ces normes, ces putains de critères de beauté, face à ces mannequins filiformes, ton corps te donnait la nausée.Combien de fois t’es tu fait vomir quand chaque bouchée prenait le goût du poison?Combien de fois as tu eu l’envie d’en finir quand ton corps était ta prison? Tu pensais à toutes ces filles que tu trouvais belles sur les affiches, les magasines et tu détestais ton corps! Tu penses à tous ces regards posés sur toi, à tout c’qu’ils imaginent, tu n’es qu’un bout de viande pour ces porcs! Ton corps, ce champs d’bataille. Aujourd’hui les années ont passées mais tu ne peux oublier, cette pèriode où tu étais bourreau et victime au sein de cette guerre anonyme, tu penses à tout ce temps perdu à vouloir ressembler à un modèle qui n’existe pas, lorsque la dictature de la normalité s’était imiscée au plus profond de toi.
Kéblo entre 4 murs, dans ma cellule, j’sens qu’je deviens barge, je n’ais plus de futur en dehors de cette cage. On me viole, on me frappe, je crève, je crève au quotidien, je sens ma vie qui m’échappe, peu à peu, je m’éteinds.La guillotine ne laissait aucune chance mais l’état assassine toujours en france! La peine de mort est révolue mais chaque jour l’enfermement tue! Brique par brique, mur par mur, détruisons les prisons!
j’me suis réveillé ce matin avec un arrière gout de défaite dans la bouche, j’me lève pour affronter un quotidien qui n’égale que l’désastre ambiant dans lequel j’me couche. entre une vie de merde et une vie de merde, je sais pas trop vers quoi m’orienter mais plus je cherche c’que j’ai à perdre et plus j’constate que j’ai envie de crever...ce monde de merde.je mords la main qui me nourrit, je hais ce monde qui m’a vu naître, je crache à la gueule de ce père qui ne me veut en vie que tant qu’il est mon maître.et plus on s’écrasera et plus ils nous écraseront, ce système veut notre mort alors...achevons le! j’peux hurler à en perdre haleine, je hais / mords / crache mais tourne en rond et cette frustration qui me cerne ne relache jamais la pression, j’me frappe la tête contre un mur, avec comme seule perspective d’avenir cette putain d’envie d’en finir... avec ce monde de merde.
Ca fait longtemps qu’t’as compris qu’il n’y a plus rien à attendre de ce sytème qui s’nourrit de ta vie , de tes sueurs, de ta peur, de ton temps, tes exploiteurs te promettent le bonheur, tes oppresseurs la liberté et tu finis esclave à l’ombre de leur police et de leur armée! Alors Vole, pille, saigne, assassine ce système que tu hais! Vole, pille, saigne, assassine ce système qui t’as fait! Vole, pille, saigne, assassine, le feu marche avec toi !
« La France est un pays de flics, à chaque coin de rue il y en a 100, pour faire régner l’ordre publique, ils assassinent impunément » GUERRE, GUERRE, GUERRE A L’EUROPE POLICIERE ! Ici comme ailleurs la justice de classe envoie ses cleps en uniforme, ils nous enferment, ils nous tabassent lorsque le capital l’ordonne ! GUERRE TOTALE CONTRE LE CAPITAL !
L’évolution réactionnaire n’est qu’un grand bon en arrière, on donne juste à l’exploitation de nouvelles formes, de nouveaux noms, et leurs délires sécuritaires mattent les révoltés de la misère.Allons nous continuer à payer les matraques qui vont nous tabasser? C’est la révolution néo-libérale! En route pour la régression sociale, le capitalisme opprime et quand le peuple s’exprime, l’état réprime.Nous sommes tous un peu mort à Gênes. La paix sociale est foutue, la lutte est notre seule issue.Tout est à nous, rien n’est à eux?! Mais qu’est ce qu’on attend pour foutre le feu? Du grand patronat à la police, même mépris, même volonté, système oppresseur, états complices, c’est le peuple qu’on veut museler!
Ginka vivait en Bulgarie, ça faisait déjà bien longtemps qu’elle parlait de quitter son pays, elle voulait rejoindre l’occident alors quand on lu a proposé d’être serveuse dans la ville de lumière, Ginka n’a pas hésité, elle a pris son ticket pour l’enfer.»100 balles, la pipe, 200, l’amour» jetait-elle à tout les passants puis elle les emmenait faire un tour, chialait quand on lui rentrait dedans.Quand elle fut vendu comme un jouet, Ginka n’avait pas encore 20 ans, quand on l’a retrouvé dans une cage d’escalier les cuisses couvertes de sperme et de sang. Ginka, les tients te pleurent encore et ta mère s’interroge, sur ton lit de mort qu’ont-ils fit de son petit ange? Tu ne voulais pas aller à l’usine comme ta mère, toi tu rêvais de l’occident, Paris, ville de lumière, baigne maintenant dans ton sang...
Tous les soirs au JT, la famille réunie plaint tous les affamés, les victimes des conflits, qu’on est fier d’être ici, d’être civilisés, on oublit que ces hommes nous les avons armés! Puis on s’donne bonne conscience on passe la serpillière, on envoie les soldats faire de l’humanitaire.On passe pour des héros mais faut voir que derrière, nous les avons armés les bourreaux de ces guerres...Vous pouvez être fier, vous qui vendez la mort, vous les marchands de guerre, vous n’aurez jamais tort.Au pays des libertés, on aide les dictateurs, si ça plait au marché, ils ne nous font pas peur, partout où il y a du blé, on y trouve le bonheur même si sous le silence sacrés brazaville est en pleurs.Moi j’crache sur ce pays, ce pays qui vend la mort! Pas d’fierté! Pas d’patrie! Et qu’aillent crever ces porcs! Ils font couler le sang et il coule tricolore! Ils font gicler l’argent et l’argent pue la mort!
They want to teach us to be patriotic citizen, who love and respect their country and their holy institutions.They say «learn it by heart, respect your hymn, your flag, your god and your country, your boss and his money».It’s easy to control a nation when education conditions.They want to prepare new work forces to feed the cast of the bosses.That’s why they lie to you and you’ll never know the truth while you listen only to what they accept to tell you.That’s why i’m looking for a way to know more than what i’m supposed to and you should try too...Then you won’t sing their hymn, you won’t stand behind their flags ‘cause you’ll know what’s behind the screen.That their empire has been built on lies.But what the hell could i do to make you see that you’re just wasting your time?You think you learn but you’re still blind. Are you afraid of what they could hide behind their lies? We’ll always want some more, we’ll never be satisfied. We’ll always looking for a way to know «how» and «why». We’ll never be satisfied.
When i look at this world i think that all is going crazy. States, business, religions are dividing us just when we should fight for «a better world», a world without leaders working for power and money. They’re playing with your needs, they’re playing with our fears to make you believe in their cause...it’s something we can no longer bear! The respect you give ‘em is something that they don’t deserve ‘cause while they’re lying to you they make you become a slave! Christians can still pray, citizen-consumers vote and pay but nothing will change anyway. The institutions they help to maintain are part of the problem. Their speech always seems to be based on the same refrain.They say they want to help you, they all wanna be your friend - i’ve heard it many times before i will hear it again but i can’t trust them anymore...their sincerity is a game. This song is an anthem to an alternative way! Power to the people and direct democracy! Nothing will change anyway if you just pay, vote and pray!
Who are you to tell me what i’ve to do?Who are you to be sure that all that you say is true? I agree to listen to all your fucking advices but don’t try to make me believe all that you say is wise;If your advice sounds like an order, i won’t obey! Do you think you’re fuckin’ smarter to always have something to say.The problem is that you don’t like what i do.So what? If i’m different than you...‘Cause it’s just my way. I live the way i want.’cause it’s just my way! Fuck off if you don’t understand! I won’t change for you my way of life ; Keep your own point of view i’ll keep my state of mind.You can tell me all that you want i will certainly never understand. I know we can’t always do what we want but i just want you to understand i will never follow the someonelse’s way, i go on my own way that’s what i had got to say.I don’t want to be controlled.I wanna be free and that’s all!
This song’s for all the womyn, who one day realized they were living in a system based on fucked up lies.This song’s for all those, who begun to fight for a real emancipation and against the macho pride! Which rights or pride should give their bollocks to them? «They like watching football on the t.v., they never miss an occasion to prove their virility, they often show their superiority...in the mediocre art of stupidity». Some fuckers say we’re born to play our «natural role» i would be the worker / soldier / father and you the pussy / bitch / mum-at-home. As a «man» am i trapped / forced / condamned to accept to watch / treat / consider you the way the way my capitalist jewish and christian culture has taught me to? No.’cause it’s just an other unacceptable hierarchy. Le’ts fuck all these sexist traditions! These dogmas imposed by some religions! Let’s fight for a humanity composed of free womyn and free men...’cuz we’re fighting for a world, which would be «civilized» (no hierarchies, not «based-on-lies») we’ve to do more than singing a 2 minutes song that tells that macho pride sux! Let’s fuck this other goddamn hierarchy! Let’s fuck the male supremacy! Fuck all the god damn hierarchies! Fuck all the fuckin’ supremacies!!
Hey dad, do you remember 30 years ago you were shouting «capitalism is a crime» (you were right) you wer raising your fist to show that you didn’t believe a fuck of their lies.Now it’s easy to see that you’re not anymore this guy you used to be before you finally decided that your principles could die but capitalism still sucks. And it’s worst and worst and it won’t be better ‘cause a lot of people have done like you ; Now you’re just a work force only ‘cause it’s safer to shut up your face when they ask you to. Now speculate, eat your big mac, you’ll be old, stupid and fat. This system was only made to fuk you. Every banknote you give ‘em is a vote to maintain the system, which is exploiting you.You used to demonstrate to denounce things they create.All these things that you used to hate.Tell me have you forgotten what’s pollution or exploitation?If there’s no use resisting, there’s no use existing...i don’t wanna be like you.